Les participants venant de 16 pays du continent vont se pencher sur des questions relatives à la sécurité et de l'environnement, la facilitation des échanges, les grands travaux de construction des infrastructures lourdes, et des autres projets en cours de l'association.
Les travaux de Libreville qui s'achèvent le 10 mars prochain font suite des précédentes rencontres de Banjul, de Freetown et d'Accra.
Elle permettra aux participants de chercher des solutions aux problèmes qui se posent dans les ports africains.
Le directeur général de l'Office des ports et rade du Gabon ( OPRGA) Rigobert Ikambouayat Ndéka, a estimé que la présente rencontre, comme les précédentes, permet de "s'assurer de l'évolution future des ports africains".
L'objectif étant, au final, la modernisation des ports africains qui doivent s'adapter aux changements du système du monde et des inrérêts bien compris des opérateurs économiques.
"Les grands opérateurs prévoient d'investir entre 1,3 et 2 milliards d'euros pour moderniser les ports de la façade ouest- africaine", a rappelé le secrétaire général de l'AGPAOC, El Hadj Mar Gueye.
Il a indiqué que, pour l'amélioration de la compétitivité des ports de l'Afrique de l'Ouest et du Centre, un financement d'un peu plus de 100 millions de FCFA a déjà été obtenu.
Selon M. Gueye, les deux comités techniques de l'AGPAOC sont à pied d'oeuvre à fin de permettre à cette structure d'approfondir toutes les questions restées en suspens au cours des dernières assisses.
