Le communiqué ne donne pas les raisons de l'expulsion du correspondant portugais.
Les rapports entre Lisbonne et Bissau sont marqués par une tension depuis le coup d'Etat militaire survenu en Guinée-Bissau le 12 avril dernier et se sont davantage détériorés avec l'attaque d'une caserne à Bissau par un groupe armées le 21 octobre. La Guinée-Bissau accuse le Portugal, la Communauté des pays lusophones et le Cap-Vert d'être à l'origine de cette attaque qui a fait sept morts et qui avait pour objectif de rétablir dans ses fonctions Carlos Gomes Junior, Premier ministre déchu en avril.