MSD s’engage pour la Semaine Mondiale de la Vaccination en Afrique

Afriquinfos Editeur
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MSD (Merck Sharp&Dohme) réitère aujourd’hui son soutien à la semaine mondiale de la vaccination, une initiative annuelle lancée par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et ses partenaires pour célébrer et promouvoir la vaccination à travers des actions de sensibilisation, d’éducation et de communication.

En Afrique, la semaine de la vaccination est célébrée cette année du 22 au 27 Avril, et est placée sous le thème « La Vaccination : une responsabilité partagée ! » : elle vise à souligner l’importance du rôle que peut jouer chaque individu dans la lutte contre les maladies pour lesquelles une vaccination préventive est disponible, comme la poliomyélite, la coqueluche, la rougeole, le tétanos, la diphtérie, la grippe, la diarrhée à rotavirus, la pneumonie, l’hépatite virale et les cancers liés à l’HPV dont le cancer du col de l’utérus.

L’efficacité des vaccins et leur impact sur la santé publique ne sont plus à prouver. Ils ont contribué à prévenir plus de 25maladies infectieuses courantes et ont permis d’éviter un bon nombre d’handicaps à long terme1. Aussi, on estime à 2 à 3 millions le nombre de décès évités chaque année grâce à la vaccination2. Toutefois, malgré les progrès réalisés en Afrique dans la lutte contre les maladies infectieuses, de nombreux défis restent à relever. Les avantages de la vaccination doivent s’étendre au-delà des enfants, pour atteindre les adolescents et les adultes, et ainsi fournir une protection contre des maladies mortelles telles que la méningite, les diarrhées ou encore les cancers liés à l’HPV dont le cancer du col de l’utérus. Dans les pays Africains, une femme meurt toutes les 8 heures des suites de ce cancer, des décès que l’on peut aujourd’hui éviter grâce une vaccination précoce3.

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La vaccination contre les infections au Virus du Papillome Humain (papillomavirus humains)

Les papillomavirus humains (HPV) sont des virus très communs qui peuvent infecter la peau et les muqueuses4. Les chercheurs distinguent plus de 100 génotypes de papillomavirus dont environ 40 peuvent infecter la sphère génitale et 13 sont reconnus oncogènes4.

L’infection au HPV est une des Infections Sexuellement Transmissibles (IST) les plus fréquentes 4: au moins la moitié des personnes sexuellement actives contractent le HPV durant leur vie4. Tout contact sexuel est associé à un risque d’infection4. Du fait de la transmission aussi bien cutanée que muqueuse, la protection par préservatifs contre les HPV est insuffisante, d’où l’importance de la vaccination4.

Aujourd’hui il existe deux vaccins contre le HPV : un vaccin bivalent (types 16, 18) ciblant les deux principaux HPV oncogènes, et un vaccin quadrivalent (types 6, 11, 16, 18) qui protèges contre les génotypes HPV 6,11(responsable de 90% des cas de verrues génitales (1)), ainsi que les génotypes 16 et18 à l’origine de 70% des cancers du col de l’utérus, de 40% à 50% des cancers de la vulve, de 70% des cancers du vagin (2) et de 95% des cancers de l’anus (3).

La semaine mondiale de la vaccination est l’occasion idéale pour mettre en lumière les immenses progrès accomplis en terme d’immunisation et d’attirer l’attention sur les cancers induits par les infections virales telles que les infections à HPV (cancer du col de l’utérus et de la vulve) que l’on peut désormais prévenir à défaut de guérir. Il s’agit également d’une occasion pour mettre l’accent sur l’importance de l’intégration de ce type de vaccin dans les programmes nationaux de santé publique.

«MSD est fière d’appuyer la Semaine mondiale de la vaccination en Afrique, qui fournit une occasion importante de sensibiliser à l’impact sur la santé publique de la vaccination», a déclaré Dr Soren Bo Christiansen, Président de la région de l’Europe de l’Est, Moyen-Orient et en Afrique à MSD. «Les vaccins sont l’une des plus grandes innovations de la santé publique de l’histoire, et MSD a joué son rôle à construire cette histoire. Depuis plus de 50 ans, nos scientifiques ont aidé à prévenir des maladies – désormais rares – telles que la rougeole et les oreillons, ainsi que des maladies que nous n’avons jamais pensé être évitables tels que le zona et le cancer du col utérin. Notre engagement à protéger la santé humaine, en assurant la disponibilité et l’accessibilité des vaccins, est essentielle à notre mission en tant qu’entreprise”.

Avec la participation de plus de 180 pays, territoires et régions à travers le monde, la semaine mondiale de la vaccination a pour but de rappeler que les vaccins permettent de lutter contre un grand nombre de maladies infectieuses et de mobiliser l’action pour améliorer la couverture vaccinale pour les personnes à risque parmi tous les groupes d’âge.

Distribué par APO (African Press Organization) pour MSD (Merck Sharp & Dohme).

 

Contact presse :

MSD
Khalid Baddou
Email: [email protected]

À propos de MSD

MSD (connu sous le nom de Merck aux États-Unis et au Canada) est un chef de file mondial de la santé engagé à aider le monde à vivre mieux. MSD est un nom commercial de Merck & Co., Inc., dont le siège social se trouve à Whitehouse Station, NJ, Etats Unis. Grâce à nos médicaments, vaccins, traitements biologiques, produits de santé grand public et de santé animale, nous collaborons avec nos clients et œuvrons dans plus de 140 pays à procurer des solutions de santé novatrices. Nous démontrons également notre détermination à améliorer l’accès aux soins de santé grâce à des politiques, programmes et partenariats d’envergure.

Pour plus d’informations, visitez le site http://http://www.merck.com

Références :

World Health Organization, UNICEF, World Bank. State of the world’s vaccines and immunization. 3rd edition. Geneva 2009. 2. World Health Organization. Immunization. Available at: http://www.who.int/gho/immunization/en/index.html – Accessed February 2013World Health Organization. The International Agency for Cancer Research. GLOBOCAN 2008 Fast Stats Factsheet – Summary of “Cancer incidence and mortality worldwide in 2008″. Available online on : http://globocan.iarc.fr/factsheets/cancers/cervix.asp

4. Eileen F. Dunne, Elizabeth R. Unger, Maya Sternberg, Geraldine McQuillan, David C. Swan, Sonya S. Patel, Lauri E. Markowitz. Prevalence of HPV infection among females in the United States, JAMA. 2007;297:813-819

(1) aStudy Design: Six placebo-controlled, double-blind, randomized phase 2 and 3 clinical studiesb evaluated the efficacy of GARDASIL in girls and women 16 to 45 years of age and boys and men 16 to 26 years of age at enrollment. Efficacy was measured after 1 month postdose 3, with median duration of follow-up from 3 to 4 years. Subjects received vaccine or placebo on the day of enrollment, and 2 and 6 months thereafter. Subjects received all 3 doses within 1 year of enrollment, had no major deviations from the study protocol, and were enrolled regardless of baseline HPV status, but were counted only in the analysis of the type(s) for which they were naïve at enrollment and through 1 month postdose 3.
bThe first phase 2 study evaluated the HPV 16 component of GARDASIL (n=2,391 girls and women), and the second evaluated all 4 components of GARDASIL (n=551 girls and women). Three phase 3 studies, called FUTURE, evaluated GARDASIL in 5,442 (FUTURE I), 12,157 (FUTURE II), and 3,817 (FUTURE III) girls and women. A fourth phase 3 study evaluated GARDASIL in 4,055 boys and men

(2) ~40% to 50% of vulvar cancer cases2,3
~70% of vaginal cancer cases3
2. Hampl M et al. Obstet Gynecol. 2006;108(6):1361–1368. 3. Insinga RP et al. Cancer Epidemiol Biomarkers Prev. 2008;17(7):1611–1622.

(3) http://www.cdc.gov/hpv/cancer.html

Joseph DA, Miller JW, Wu X, et al. Understanding the burden of human papillomavirus-associated anal cancers in the US. Cancer.
2008;113(10 suppl):2892-2900

 

SOURCE – MSD (Merck Sharp & Dohme)

Kenya, 24 avril 2014