Ali Bongo affirme qu’il ne laissera pas la chienlit s’installer au Gabon

Afriquinfos Editeur
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"Je ne vais pas laisser notre pays entre les mains de ceux qui, après avoir été aux affaires et s'être illustrés par la trahison, la manipulation, l'enrichissement personnel, l'intolérance et le mépris des populations, veulent aujourd'hui casser et détruire le Gabon", a-t-il annoncé en réponse aux dirigeants de l'Union nationale, un parti de l'opposition officiellement dissout qui demande à Ali Bongo Ondimba de démissionner parce qu'il a été, selon eux, mal élu en 2009.

Les dirigeants de l'Union nationale sont tous d'anciens compagnons d'Omar Bongo Ondimba. Mais, ils ont retourné la vaste après la mort de celui-ci pour se transformer en farouche opposant.

"La responsabilité qui m'incombe est de ne pas laisser ceux qui appellent à la violence et à la haine ethnique briser notre vivre ensemble", a ajouté le président gabonais.

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Mercredi, les dirigeants de l'Union nationale ont tenté d'organiser un meeting non autorisé au quartier Cocotiers dans le deuxième arrondissement de Libreville. La police est intervenue pour disperser les manifestants.