Au moins 8.000 personnes vivent encore dans des camps de déplacés dont 5.000 à Abidjan. Le gouvernement ivoirien veut faire en sorte que ces personnes retrouvent leur famille tout en souhaitant que "ces sites soient fermés le tôt possible sans désagrément pour les personnes qui y vivent".
Les violents affrontements post-électoraux déclenchés en novembre 2010 ont provoqué le déplacement de plus de 100.000 personnes à l'intérieur du pays et des milliers d'autres dans les pays voisins.
Avec l'appui des acteurs humanitaires, le gouvernement relève un retour massif des déplacés dans leurs localités d'origine, surtout dans la région de l'ouest" du pays.
