Gabon: La SEEG attribue aux décharges atmosphériques le phénomène de délestage à Libreville

Afriquinfos Editeur
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"Les violents orages qui se sont abattus dans la zone de Kinguélé Tchimbélé, lieu où se trouve le barrage, ont occasionné la perte de la ligne de transport qui évacue l'énergie de l'usine vers la ville de Libreville", déclare le communiqué.

Selon le communiqué, "la perte de cette ligne a prouvé la mise hors tension générale de la ville de Libreville et ses environs".

"La cause à l'origine de cet incident est une décharge atmosphérique dans la zone de Kinguélé-Tchimbélé. Les équipes d'interventions sont sur le terrain", conclut le communiqué.

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Depuis un certain temps, Libreville et ses environs vivent une situation des coupures intempestives, une attitude affichée par la Société d'énergie et d'eau du Gabon (SEEG).

Libreville et sa proche banlieue se retrouvent plongées dans le noir, privées d'électricité.

Pour regagner leurs domiciles, de nombreux piétons sont obligés de s'éclairer à l'aide de leurs téléphones portables. Dans leurs logis, bougis, éclairages de fortune remplacent les défaillances de la SEEG.

L'Etat gabonais a cédé, en 1997,51% de capital à la SEEG au groupe français Veolia Water.