Revue de la presse malienne

Afriquinfos Editeur
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L'Essor

Intervention de la MISMA : LE COMITE DES CHEFS D'ETAT-MAJOR DE LA CEDEAO BALISE LE TERRAIN Le comité des chefs d'état major de la CEDEAO était en conclave hier à l'Ecole de maintien de la paix pour examiner les moyens de rendre opérationnelle l'intervention de la Mission internationale de soutien au Mali (MISMA). La cérémonie d'ouverture était présidée par le général Soumaïla Bakayoko, le chef d'Etat major de la Côte d' Ivoire dont le pays préside l'organisation sous régionale. La rencontre qui se tient à huis clos regroupe les chefs d'Etat major des pays de la CEDEAO et le représentant de la France, le général Grégoire de Saint Quentin. Les troupes de la CEDEAO se préparent à intervenir pour soutenir les forces maliennes et françaises qui font face depuis une semaine aux djihadistes qui occupent depuis plusieurs mois le nord du Mali et ont lancé une offensive vers le sud.

Le Progrès

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Depuis Dubaï, le président français François Hollande a affirmé hier que l' intervention militaire française au Mali avait trois objectifs: " arrêter l' agression " des islamistes, sécuriser Bamako et préserver l' intégrité territoriale du pays "Nous avons trois buts dans notre intervention qui s' effectue dans le cadre de la légalité internationale", a-t-il dit lors d' une conférence de presse: " arrêter l' agression terroriste", "sécuriser Bamako où nous avons plusieurs milliers de ressortissants, et permettre au Mali de recouvrer son intégrité territoriale".

Le Reporter

Intervention française au Mali : La grande joie dans les villes du pays Du Sud au Nord, les populations maliennes se sont réjouies de l'appui rapide français sur la ligne de front dans le cadre de la libération des territoires envahis par des djihadistes. À la chute de la ville de Konna aux mains des islamistes sans foi ni loi, le président malien a sollicité une intervention rapide de la France afin d'éviter le pire. Car, la situation avait dépassé tout le peuple malien. Lequel peuple meurtri craignait la prise de Bamako. Fort heureusement, le président français, François Hollande, a répondu favorablement à l'appel de son homologue malien.