Il a rappelé que le Maroc se prépare à fond depuis quelques années pour devenir l'un des leaders de l'industrie automobile internationale, par le biais de ses pôles de production à Tanger, Kenitra et Casablanca.
Le profil de l'industrie marocaine est principalement exportateur ce qui pousse le pays à vouloir être la porte d'entrée du marché de l’automobile subsaharien, très prometteur. Il attire progressivement des marques automobiles, le premier cas fut l'alliance entre Renault-Nissan à Tanger et Dacia dans la ville de Somaca.
Pour atteindre leurs objectifs ambitieux, ils ont déjà installés 200 entreprises dans tout le pays, Casablanca emploie 30.000 personnes et Tanger a un effectif de 40.000 employés.
De plus, un parc logistique est en projet, le Tanger City Automotive Industry qui comprendra l'usine Renault : avec une prévision d’un million de voitures produites par an.
Une force supplémentaire, le coût de la main d’œuvre compétitif, 30% inférieur à celui de son voisin turc. Toutes les aides gouvernementales sont mises en place pour propulser le Maroc sur le devant de la scène automobile.
