L'institut a indiqué dans un communiqué publié lundi à Lagos que les problèmes concernent le changement climatique et la dégradation des sols et des autres ressources naturelles.
D'après Nteranya Sanginga, le nouveau directeur général d’IITA, l'institut compte se concentrer sur la qualité, les partenariats et le renforcement des capacités afin d'enrayer les problèmes.
M. Sanginga a indiqué que la recherche permettra à l'institut de conserver et de maintenir sa position d'organisation agricole de recherche pour le développement en Afrique.
L'institut a développé au cours des dernières années plusieurs variétés améliorées de bananes et de bananes plantains, de manioc, de patate douce, de soja et de maïs, a-t-il indiqué.
"Ces variétés transforment la vie des agriculteurs, renforcent la santé et garantissent la sécurité alimentaire, notamment en Afrique sub-saharienne", a ajouté M. Sanginga.
D'après lui, actuellement, près de 60 % des variétés de maïs ont été cultivées dans l'ouest et le centre de l'Afrique de IITA.
M. Sanginga a souligné l'importance du partenariat et le besoin de construire la capacité des partenaires au niveau agricole.
Il a ajouté que l'interdépendance croissante avec les partenaires était cruciale pour mener la mission de l'institut et l'éradication de la faim et de la pauvreté.
