La Haute Commission de l'Etat civil marocain a indiqué dans un communiqué la liberté pour les marocains de choisir le prénom de leurs enfants. Cependant, ceux-ci ne doivent pas porter atteinte à la morale et à l’ordre public. Plus aucune distinction n’aura lieu entre les prénoms des différentes communautés présentes au Maroc (arabe, amazigh, hassani et hébraïque).
Cette nouvelle loi va engendrer une plus grande flexibilité au sein des services publics concernant l’attribution des prénoms, où certains prénoms amazighs étaient refusés régulièrement.
