Les jeunes délégués ont protesté contre l'échec du gouvernement nigérian à venir en aide aux 234 lycéennes enlevées le mois dernier à Chibok par le groupe islamiste Boko Haram.
Qualifiant les adolescentes "d'esclaves", le groupe a menacé de les vendre "sur le marché" et de "les marier".
"Trois semaines se sont écoulées depuis l'enlèvement", a rappelé un participant, ajoutant qu''il ne s'agit pas d'une affaire nigériane, mais d'une crise mondiale".
L'incident terroriste a été condamné par la communauté internationale, qui a promis de porter assistance aux jeunes filles, et les familles des otages et la population nigériane ont demandé au Boko Haram de rendre les filles saines et sauves à leur communauté.