Ce salon est organisé par l'Association du Salon du Cheval. Le choix d'El-Jadida pour abriter cet événement n'est pas fortuit. Capitale de la région Abda-Doukkala, la ville s'illustre par sa tradition équestre ancestrale perpétuée notamment par l’organisation annuelle du Moussem Moulay Abdellah Amghar qui connaît la participation de plus de 1200 cavaliers et par ses courses hippiques.
El Jadida au Maroc est aussi une ville côtière d'environ 250 000 habitants à 96 km de Casablanca (84 km au sud-ouest de Rabat) où il fait bon vivre. Le Salon du Cheval est la célébration du patrimoine équestre de la région mais également de l'ensemble du Royaume. Il a pour objectif d'asseoir le Maroc parmi les pays de renom dans le domaine du cheval.
Grâce à ses succès lors de ses trois premières éditions, le salon s'impose désormais comme l'évènement incontournable, national, sportif et culturel de l'année.
Selon les organisateurs, pas moins de 250.000 visiteurs sont attendus à l'hippodrome de la princesse Lalla Malika. Aussi, pas moins de douze pays étrangers ont confirmé leur participation à cette quatrième édition. Il s'agit notamment de l'Espagne, la France, l'Irlande et des États-Unis. Au total, 200 exposants et 700 chevaux prennent part à cette édition.
Placée sous le thème "Cheval, levier de développement économique et social", cette édition propose aux professionnels comme au grand public un programme riche et varié.
Au menu, des spectacles équestres nationaux et internationaux, des carrousels, des concours et championnats. Un show international "Modèle & Allures" du pur sang arabe de niveau B et un concours international de saut d'obstacles, organisé sous l' égide de la Fédération Equestre Internationale et qui comptera pour les éliminatoires du groupe 7 du championnat du monde, marqueront cette manifestation d'envergure.
La Tbourida, qui tient une place importante dans ce salon, verra la participation de 18 Sorbats représentant les différentes régions du Royaume et les Marocains résidents à l'étranger.
Le Salon du cheval d'El Jadida propose une programmation holistique capable d'induire une émulation entre les différentes composantes de la filière équine et de célébrer le cheval sous ses diverses facettes, au grand bonheur d'un public passionné.
Y prennent part aussi les représentants de bon nombre de pays arabes et européens. Ce programme sera agrémenté par un volet culturel et scientifique diversifié, avec une série de conférences axées sur "le cheval Arabe: longue histoire et belles perspectives ", "la stratégie de l'élevage du cheval au Maroc, "le cheval dans l'occident musulman" et "les urgences en médecine vétérinaire".
n'avait pas envahi la Somalie, mais qu'il poursuit un groupe terroriste armé dans ce pays, suite à la violation de son intégrité territoriale et également sur invitation du gouvernement fédéral de transition de Somalie.
« Quand votre voisin a un problème et vous appelle à l'aide, vous répondez à cet appel mais les problèmes restent les siens », a expliqué M. Wetangula.
Le Kenya considère l'Ethiopie, dont les soldats ont été envoyés en Somalie en 2006, comme un allié crucial dans la guerre contre les Shebab dans la région étant donné sa situation stratégique, à la frontière avec le Somalie à l'ouest.
Avant de se rendre à Addis Abeba, la délégation kényane est passée à Mogadiscio où elle a rencontré le gouvernement du président Sharif Cheikh Ahmed pour discuter de la situation sécuritaire en Somalie. A cette occasion, il a été entendu que les deux gouvernements continuent de travailler ensemble pour stabiliser la Somalie et écarter les menaces des Shebab.
Lors de la réunion à Addis Abeba, M. Ping a déclaré que le Kenya a le droit de protéger ses intérêts économiques et sécuritaires.
Le président de l'UA a également souligné que face aux violations de son intégrité territoriale par le groupe terroriste shebab, les actions du Kenya contre les militants islamistes étaient justifiées.
La délégation kényane a rencontré le président de l'UA pour l' informer sur les réunions de mardi avec le président du Gouvernement fédéral de transition de Somalie et les membres clés de son gouvernement.
A cette occasion, M. Wetangula a informé le président de l'UA des discussions fructueuses que la délégation kényane a eues avec le président et les officiels du TFG en Somalie mardi.
Il a fait savoir que le gouvernement kényan avait décidé de forger une stratégie de politique et de sécurité commune avec le TFG afin de désamorcer la menace posée par le groupe terroriste contre les habitants des deux pays.
Le ministre a exprimé le désir de paix et de tranquillité entre les pays du continent et la compréhension globale de la dynamique de la Corne de l'Afrique et de la région est-africaine.
La milice shebab, qui contrôle une grande partie du sud et du centre de la Somalie, y compris des régions proches de la frontière avec le Kenya, a récemment été l'auteur d'enlèvements d' étrangers en échange du versement de rançons.
Face à l'extrême provocation des insurgés d'Al-Chebaab, le Kenya a fermé ses frontières avec la Somalie, et contrôlera tous les réfugiés dans le pays pour détecter les éléments suspects.
