Agence congolaise de presse
L'Evaluation de la situation sécuritaire dans la partie orientale de la RDC a été au centre d'une rencontre le 17 juillet à Kinshasa entre le Vice Premier ministre, ministre de la Défense nationale et des Anciens combattants, Alexandre Luba Ntambo et le représentant spécial intérimaire du Secrétaire général de l'ONU en RDC et chef de la MONUSCO Moustapha Traore. Selon M. Soumare, le calme est revenu dans cette partie du pays après le revers subit par le M23 face aux FARDC. Il a formulé le vœu de voir perduré ce calme pour permettre à la population de vaquer librement à ses occupations.
Le Potentiel
Le porte-parole militaire de la Mission des Nations unies pour la stabilisation au Congo (Monusco), le colonel Félix Prosper Basse, a affirmé le 17 juillet 2013, à Kinshasa, que « le mouvement rebelle du M23 reste confronté à l'opposition de divers groupes armés mineurs présents dans le territoire de Rutshuru, ainsi qu'aux attaques récurrentes de ces derniers contre ses positions déployées dans la région susmentionnée ». C'est le cas, dit Félix Prosper Basse, "de la dernière offensive des éléments supposés appartenir à l'Alliance des patriotes pour un Congo libre et souverain (APCLS), sur les positions M23 basées à Kanyaruchina".
La Prospérité
Après la cérémonie d'inauguration de la station d'atterrage de la fibre optique à Muanda par le chef de l'Etat, le Ministre des Postes, Télécommunications et Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication, Tryphon Kin-Kiey Mulumba, donne des précisions sur le débat qui accourt dans les milieux des professionnels du secteur des Télécommunications. Sans ambages, il indique que les failles observées dans la transmission du haut débit sont tributaires aux malfaçons techniques dans la construction de la phase I de la fibre optique (axe Moanda- Kinshasa), mais également au défaut de pose de câble à plusieurs endroits. Ces travaux ont été, malheureusement, réceptionnés par les responsables de la SCPT. Cette imperfection, a-t-il rassuré, ne peut annihiler les efforts consentis jusque là par le gouvernement de la République sous l'impulsion du chef de l'Etat.
