« Le gouvernement ne reculera pas devant ses responsabilités et agira en conséquence et en toute conscience », a indiqué M. Kalumba. D'après lui, entre 2008 et 2011, 153 cas de naufrage ont été enregistré, soit une moyenne de 83 cas par an. Ces naufrages sont consécutifs à la violation massive des normes de navigation ainsi qu'à la prolifération des plages non viables, a précisé M. Kalumba.
« Les différents opérateurs de ce secteur se plaignent chaque fois de la tracasserie policière et administrative, alors que les services publics ne disposent pas d'une expertise et encore moins d'un équipement approprié pour assurer le dragage de ces cours d' eaux », a déclaré un participant.
Le fleuve Congo et ses affluents comptent 15 000 km des voies navigables, dont seulement 6000 sont partiellement balisées.
Cet atelier ce tient dans le cadre des activités du Projet de Transport multimodal (PTM) financé par la Banque mondiale (BM). Convaincu que les cours d'eaux constituent un moyen de transport le plus économique, le ministre a promis que le gouvernement va tout mettre en oeuvre pour que les recommandations sortant de ces accises puissent contribuer à l'amélioration des conditions de vie du peuple congolais.
