Selon notre confrère, Dati aurait assigné devant un tribunal civil, pour « reconnaissance de paternité », Dominique Desseigne, P-DG du groupe d’hôtels et de casinos Lucien Barrière.
Jusque-là, la très médiatique maire du très bourgeois VIIe arrondissement parisien et eurodéputée de droite a refusé de dévoiler le nom du père de sa fille, née le 2 janvier 2009. Par ce refus, elle a alimenté les rumeurs les plus folles. Parmi les noms cités ou suggérés, mezza voce, ces dernières années : l’ancien secrétaire d’Etat aux Sports (et entraîneur de rugby) Bernard Laporte, l’ancien Premier ministre espagnol, José Maria Aznar, le procureur général du Qatar, Ali bin Fetais al-Marri, l’actuel P-DG d’EDF, Henri Proglio, à l’époque patron de Veolia. Mais aussi Nicolas Sarkozy, dont Rachida Dati fut très proche, avant de tomber brutalement en disgrâce.
Les intéressés ont tous nié être le père de la petite Zohra, qui aura quatre ans en janvier prochain.
Rachida Dati a démenti l’information rapportée par LePoint.fr et les spéculations ont repris de plus belle…
