L'atelier de formation a été organisé par l'Association des journalistes djiboutiens en collaboration avec la Fédération internationale des journalistes (FIJ) et l'Association des journalistes d'Afrique de l'Est (AJAE).
Les professionnels des médias ont acquis des connaissances solides qui leur garantissent un minimum de sécurité tout en rapportant fidèlement les faits et les événements qui se déroulent sur les différents théâtres de conflit.
"Même si notre pays connaît depuis sa naissance une stabilité pérenne, les techniques de sécurité propres aux zones dangereuses doivent désormais faire parti des connaissances pratiques de journalistes djiboutiens. C'est pourquoi ils doivent maitriser les règles relatives à la sécurité pour ne pas s'exposer à des dangers évitables", a martelé le président de l'Association des journalistes djiboutiens, Kenedid Ibrahim Houssein.
Pour sa part le président de la Commission nationale des droits de l'homme, Ali Mohamed, a indiqué que le droit à l'intégrité physique et morale est un droit inaliénable à chaque être humain et à plus forte raison les journalistes qui sont investis d'une mission noble d'information du grand public.
Au moins 106 journalistes ont été tués dans 39 pays durant l' année 2011, selon un rapport publié par Press Emblem Campaign (PEC) , une organisation non gouvernementale basée en Suisse.
