Inaugurée hier, le président du sommet, Ollanta Humala, a ouvert le sommet hier par un discours. Il a appelé à l’unité de la communauté internationale, face au problème des narcotrafiquants, et à trouver de nouvelles solutions pour enrayer ce problème mondial. Le but du sommet était de mettre en évidence une responsabilité commune des Etats internationaux et non de désigner les pays producteurs, consommateurs ou de transit.
Les 78 délégations, dont six pays africains (le Cameroun, l’Egypte, le Ghana, le Maroc, la Namibie et la Tanzanie) sont donc parvenues à un consensus au terme de ces deux jours de négociation. La participation de tant de délégations venues des cinq continents prouve la préoccupation internationale et le désir des pays de ne plus laisser faire. Les gouvernements souhaitent améliorer et approfondir les actions pour combattre le trafic illicite de drogue. Le président du sommet, Ollanta Humala,a expliqué à la presse que cette conférence a été utile pour analyser les effets des nouveaux programmes de développement et de traiter de sujets comme le blanchiment d’argent, la prévention et la réhabilitation des toxicomanes. Les nouveaux plans d’action mis au point lors du sommet seront bientôt mis en place dans les différents pays. Les narcotrafiquants n’ont plus qu’à bien se tenir.
