Au cours d'une réunion tenue mardi à Brazzaville à cet effet, le directeur de Cabinet du ministre d'Etat, en charge des transports, de l'aviation civile et de la marine marchande, Roger Bruno Ongoly, a réaffirmé le caractère obligatoire du contrôle technique de ces véhicules, précisant que "tout le cadre réglementaire de ce contrôle technique est bien en place et toutes les modalités pratiques définies".
A propos, une première expérience a été tentée depuis près de quatre ans déjà à Pointe-Noire et elle marche sans difficulté, les prix appliqués étant de 8.000 FCFA pour le contrôle technique des taxis ; 10.000 FCFA pour les minibus et 35.000 FCFA pour les véhicules de transport des voyageurs et marchandises (TVM), souligne le communiqué.
Intervenant à cette occasion, le président de la Chambre de commerce de Brazzaville, Paul Obambi, a estimé que "si nous créons un trouble à Pointe-Noire, nous allons causer un préjudice à des entreprises qui ont beaucoup investi dans le contrôle technique et créé naturellement des emplois dans notre capitale économique".
Ces tarifs bien que homologués par l'Etat, peuvent toutefois subir d'une modification, précise le communiqué qui insiste sur le démarrage du contrôle à Brazzaville sur cette base.
