Nouvelle ère pour l’e-learning, l’edtetch en Afrique occidentale grâce à ‘Paradise Game’

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Yopougon (© 2019 Afriquinfos)- L’Afrique de l’ouest dispose désormais de la plus grande salle de jeu vidéo, d’elearning et d’edtech. Initiée par  Paradise Game, le projet en question a pour objectif d’emmener  les élèves et lycéens à participer à des sessions d’initiation à l’informatique, à la robotique, et au développement de jeux vidéo dans une salle lotie dans le nouveau centre commercial Cosmos Yopougon, quartier le plus peuplé de la capitale ivoirienne.

Bâtie sur 80 m², et d’une taille de 1 200 m2, la salle de jeux Paradise qui est la plus grande salle vidéoludique d’Afrique de l’ouest Game Center, dotée d’équipements de dernière génération, a officiellement ouvert ses portes le mercredi 24 juillet 2019.

Relevant d’une démarche de développement de l’esport en Afrique avec l’organisation de tournois et la préparation des esportifs aux grandes compétitions internationales, Elle offre ainsi la possibilité aux fans de jeux vidéo de se divertir tout en préparant les prochaines échéances notamment du FEJA, le plus grand évènement esport d’Afrique.

En 2020, la salle intègrera le premier programme « edtech & e-learning » de Yopougon où startups, formateurs, étudiants et entrepreneurs unifieront leurs talents et savoir-faire pour créer les produits éducatifs technologiques de demain.

Paradise Game propose aussi des moyens de divertir les enfants et les parents. Ceux-ci découvriront à travers différents jeux et activités comment entretenir la relation parents-enfants.

 « Nous avons l’ambition de révolutionner l’industrie du divertissement en Afrique en utilisant le jeu comme moyen d’apprentissage et en permettant aux jeunes africains de découvrir les métiers du jeu vidéo, de la robotique et de la réalité virtuelle », a déclaré Sidick Bakayoko, fondateur de Paradise Game.

Avec plus de 500 000 visiteurs attendus par an, Paradise Game Center se présente comme une opportunité de divertir, d’éduquer et d’autonomiser la jeunesse africaine.

Xavier-Gilles CARDOZZO