En mars 2012, la cour criminelle de Nouakchott avait refusé la liberté provisoire pour l'ancien commissaire en faveur de qui une cinquantaine de députés mauritaniens (opposition et majorité confondues) avaient signé en janvier 2012, une motion exigeant un procès équitable.
Auparavant, plusieurs organisations de droits de l'homme, partis politiques et personnalités indépendantes, notamment des élus français s'étaient mobilisés pour exiger de mettre fin à la " détention arbitraire" de Dadde.
Avant 2008, Ould Dadde, membre actif du mouvement d'opposition "Conscience et résistance", a vécu pendant plusieurs années en France.