"Nous sommes engagés à débloquer l'argent de la libye d'hier pour financer les Libyens d'aujourd'hui", a-t-il déclaré, tout en affirmant la poursuite l'operation de l'Otan tant que Kadhafi et ses forces seront une "menace".
Lors d'une conférence de presse cooprésidée avec le Premier ministre britannique David Cameron, le président du Conseil nationale de transition (CNT) libyen Moustapha Abdeljalil et le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-Moon, le président français a appelé le CNT à engager un processus "de réconciliation et de pardon" pour la reconstruction de la Libye de l'après Kadhafi.
Par ailleurs, le président français a annoncé que la conférence a décidé de transformer le groupe de contact sur la Libye en groupe des amis de la Libye.