L'association justifie ce refus par la recrudescence des violences devenue monnaie courante sur les stades homologués par la FTF pour abriter les matches de D1 du Togo.
A travers cette décision, les arbitres entendent mettre la pression sur la fédération pour qu'elle trouve des solutions à ces actes qui mettent en péril la vie des officiels et des acteurs de football. L'ANAFOOT "regrette que des actes de violences ont été encore signalés lors de la 23e journée de championnat ceci en dépit de la mise en garde ferme adressée conjointement le ministre de la Sécurité et de la Protection civile et son homologue des Sports et des Loisirs", conclut le communiqué.
