Hier, pendant 1h30 pas un mot ni un regard s’est échangé entre les deux personnalités. En mars 2011, lors d’une interview dans le magazine Sport Mag, Christophe Alévêque avait reproché à Zidane d’avoir fait une publicité pour le Qatar et d’avoir touché 11 millions d’euros, affirmant qu’il s’agissait d’une sorte de prostitution, que c’était « un panneau publicitaire à trois neurones ».
A l’époque, et encore aujourd’hui, le joueur se dit choqué. Même s’il affirme accepter les critiques, celles-ci sont allées trop loin et elles portaient atteinte à ses proches.
Il réclame alors 1 euro symbolique de dommages et intérêts. Lors du précédent procès, l’humoriste français avait été relaxé par le juge car il estimait que cela faisait partie de la « liberté d’expression ». Zidane se bat symboliquement car il a été blessé et souhaite les humoristes aient des limites à ne pas franchir.