La RDC fixe les droits de participation des clubs au championnat 2011-2012

Afriquinfos Editeur
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"Les réflexions d'amendements concernent essentiellement l'adaptation des mesures fiscales et il est nullement question de revoir la base fondamentale du principe de 51/49, ni sur la souveraineté du pays sur ses ressources", a fait savoir le ministre dans une interview au journal.

La règle en question prévoit que les investissements étrangers ne peuvent être réalisés que dans le cadre d'un partenariat dont l'actionnariat national résident représente 51% au moins du capital social.

"C'est une adaptation technique de certaines dispositions et non une refonte politique ou stratégique à laquelle nous procédons ", a souligné M. Yousfi, affirmant que cela permettrait de développer le potentiel en hydrocarbures de l'Algérie dans des conditions économiques et financières "profitables" aussi bien au pays qu'aux investisseurs.

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Il s'agira de mettre à jour certaines dispositions de la loi, notamment par "certains incitatifs financiers", pour attirer les partenaires accroître l'effort de recherche et d'exploration, afin de renouveler et élargir notre base de réserves en hydrocarbures, a précisé le ministre.

Le ministre a par ailleurs déclaré qu'il n'excluait pas le recours dans le futur, si besoin est, de "faire appel à toutes les sortes d'énergie disponibles, y compris le nucléaire", ajoutant toutefois que cette option n'est pas envisageable à court et à moyen termes, faute de ressources humaines qualifiées pour faire fonctionner un réacteur nucléaire.