La visite est en conformité avec l'article 4 du mandat du FMI, qui impose à l'institution de mener des consultations visant à évaluer le progrès économique et trouver des solutions aux défis qui touchent les secteurs productifs.
Néanmoins, les analystes locaux s'interrogent sur la pertinence de l'institution à accorder d'aide financière aux pays du tiers monde.
Le Zimbabwe, qui doit environ 8 milliards de dollars américains aux financiers internationaux, connaît actuellement une hausse du produit intérieur brut, une inflation d'un seul chiffre, et un rebond dans les secteurs agricole et minier.