Les faits remontent à 2009 lorsque les postes budgétaires des salaires et des frais de déplacement avaient étés apparus comme trop conséquents par rapport aux bénéfices de l’association où il était secrétaire général.
L’ivoirien qui avait été nommé secrétaire national de l’UMP en charge du co-développement en novembre 2007, se retrouve à quarante-cinq ans devant la justice.