L'appui de ses organisations onusiennes prend en compte la gestion des aires protégées, la redynamisation du programme sur l' homme et la biosphère, mais également la promotion des parcs nationaux dont celui de Nouabalé-Ndoki récemment inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco.
« Notre soutien concerne les différents sites culturels de Mbé, et de l'ancien port d'embarquement des esclaves de Loango. De même que, Brazzaville elle-même constitue un produit touristique au regard de son patrimoine architecturale » a déclaré le représentant de l'Unesco au Congo, Abdourahmane Diallo.
L'ambition pour ces organismes est de susciter l'intérêt des touristes à fréquenter régulièrement ces différents sites, un important produit touristique pour le Congo.
Le Congo entend inventorier l'ensemble des atouts touristiques, culturels ou naturels dont il dispose pour favoriser tourisme qui cadre avec un environnement propice.
Dans cette perspective, la Fao et Congo entendent procéder à l' évaluation des différents créneaux susceptibles de dynamiser leur collaboration.
« Ainsi que nous l'avons toujours dit qu'un environnement sain, c'est indispensable pour le développement. Il nous faut nécessairement travailler en synergie, parce que l'environnement ne concerne pas seulement le ministère du tourisme et de l' environnement », a précisé pour sa part le représentant de la FAO au Congo, Dieudonné Koguiyagda.
Le Congo dispose d'une variété des sites touristiques qui n' attendent qu'à être valorisé. Le ministère du tourisme à mis en place, depuis quelques temps, un programme pour leur réhabilitation afin de faire participer ce secteur au développement économique du pays.
