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Le gouvernement préoccupé par le chômage des jeunes. Dans le cadre de la journée africaine de la jeunesse, célébrée le 1er novembre de chaque année, le ministre de l'éducation civique et de la jeunesse, Anatole Collinet Makosso, a indiqué le 31 octobre que le gouvernement congolais était engagé à créer des emplois pour lutter contre le chômage des jeunes. Au Congo, la situation du chômage continue d'affecter particulièrement les jeunes avec un taux de l'ordre de 12%. Par ailleurs, le taux de sous emplois des jeunes est estimé à 27, 8% et beaucoup d'emplois jeunes demeurent précaires ou dans des secteurs et occupations à faibles productivités et revenus.
LES DEPÊCHES DE BRAZZAVILLE
Santé : L'offre de formation laisse à désirer. Le constat est fait par la délégation spéciale des professionnels de la santé de la diaspora qui, au cours de sa mission effectuée du 20 au 29 octobre au Congo, s'est intéressée entre autres à l'école paramédicale et médico-sociale Jean- Joseph-Loukabou, à Brazzaville. Un établissement où "la formation doit être revue de fond en comble", selon les membres de ce groupe. "Il n'y a pas de programme à proprement parler, mais juste une liste de matières à enseigner, sans un contenu réel,…", a déploré le Dr Arsène Bikoué, chef de la mission.
LA NOUVELLE REPUBLIQUE
La Gestion axée sur les résultats (GAR) peut-elle réussir au Congo? Au moment où le Congo s'apprête à devenir un pays émergent d'ici à 2025, à travers la politique de modernisation et d'industrialisation de son économie, la GAR s'avère être un outil essentiel à la disposition des cadres pour une gouvernance publique saine et transparente. Malgré l'optimisme généralisé suscité aujourd'hui par l'avènement de la GAR, le succès est encore loin d'être garanti. La prévalence des antivaleurs qui minent l'ensemble de la société congolaise, à commencer par la fonction publique, fait craindre que la GAR connaisse un échec.
