JIF 2022 : Le français maintient sa place de 5è langue la plus parlée au monde, 4è langue de l’Internet

Afriquinfos Editeur
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Dubaï (© 2022 Afriquinfos)- La journée internationale de la Francophonie (JIF) a été célébrée ce 20 mars comme c’est le cas chaque année. Placée sous le thème « La Francophonie de l’avenir », les festivités de l’édition 2022, ont eu officiellement eu lieu à Dubaï dans le cadre de la programmation de l’OIF à l’exposition universelle qui a débuté en octobre 2021. C’était l’occasion de constater que le français demeure la 5ème langue la plus parlée au monde.  

Dans son discours à l’occasion de la Journée Internationale de la Francophonie (JIF), le Secrétaire Général de l’ONU, Antonio Guterres, a indiqué « de l’Europe à l’Afrique… des Amériques et des Caraïbes à l’Océanie… il est parlé par près de 300 millions de personnes, un nombre qui est par ailleurs amené à doubler dans les décennies à venir ». Ce sont environ de 700 millions de personnes qui parleront le français en 2060. Elle maintient sa position de 5e langue la plus parlée au monde après le chinois, l’anglais, l’espagnol et l’arabe. Sur internet, elle occupe la 4ème marche du podium.

L’ONU et l’OIF ne comptent pas s’arrêter en si bon chemin et proposent des outils à même de renforcer la présence du français sur la planète.   Avec plus de 132 millions d’apprenants et une très grande majorité des 300 millions de francophones sur les cinq continents qui ont moins de 30 ans, l’OIF ambitionne de mettre en réseau sa diversité et favoriser « plus d’échanges d’expériences formatrices innovantes entre jeunes francophones » précise la Représentante de l’OIF auprès de l’ONU à New York, Ifigenia Kontoleontos.

L’OIF s’investit conformément au thème de « La Francophonie de l’avenir », pour souligner le soutien de la Francophonie à la Jeunesse et à ses aspirations, notamment dans domaines tels que l’entreprenariat, la préservation de l’environnement et la transition énergétique et soutient des initiatives de la jeunesse et des femmes dans « des filières porteuses et des filières d’avenir ». L’Organisation souhaite ainsi « que ce soit compris que le français est également un atout professionnel ».

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S.B.