« Le pouvoir judiciaire est gravement limité et son indépendance est fortement menacé par le projet de constitution, en partageant les responsabilités avec d'autres entités», a déclaré le Conseil dans un communiqué.
« Entre temps, le projet a des dispositions très spécifiques qui sont aptes à être transformées en lois plutôt que d'être mentionnées dans la constitution »,affirme le communiqué.
Le conseil est en train de préparer un mémorandum qui vise à exposer ses préoccupations au sujet du projet de constitution, selon le communiqué.
Des dizaines d'avocats et des groupes de droits de l'homme ont intenté des poursuites pour la dissolution de l'Assemblée constituante, qui est chargé de rédiger la première constitution du pays après la chute de l'ancien président Hosni Moubarak, affirmant que le corps qui rédige la constitution ne représente pas l'ensemble de la société égyptienne.
