Selon Mme Khurd qui s'exprimait lors d'une rencontre des acteurs sociaux, il y a lieu de mener des actions d'envergure dans le sens de l'épanouissement sanitaire et social de l'enfant.
"Les enfants ont beaucoup souffert de la décennie de crise sociopolitique qu'a traversée la Côte d'Ivoire", a-t-elle relevé. La représentante de l'UNICEF en Côte d'Ivoire a par ailleurs plaidé pour le respect des droits des enfants. "2,8 millions d'enfants en Côte d'Ivoire n'ont pas d'actes de naissance sur une population de 22 millions d'habitants", a-t-elle dénoncé, estimant que ce chiffre est exorbitant. Elle a également encouragé toutes les initiatives visant à éliminer les pratiques sociales et culturelles néfastes affectant les enfants.
La promotion des droits des enfants constitue une préoccupation pour les différents acteurs sociaux. A plusieurs occasions, les autorités ivoiriennes ont exprimé leur engagement à assurer une protection accrue des enfants, afin de faire de ceux-ci des adultes épanouis de demain.
