La victime s'est aspergée d'essence avant de se précipiter vers une salle d'audiences de cette cour. Il a subi des brûlures de troisième degré et dans un état critique.
Vivant seul dans un quartier populaire, loin de sa famille, ce retraité connaissait des problèmes personnels et sociaux le poussant de temps à autre à adopter des comportements "anormaux", selon des sources sécuritaires.
Cet acte de désespérance intervient quelques jours après que deux des trois diplômés chômeurs marocains s'étaient immolés par le feu dans une annexe du ministère marocain de l'éducation nationale à Rabat. L'un des deux est décédé mardi dernier.
