En effet, mercredi, le Premier ministre tunisien a annoncé la démission du gouvernement.
«Nous réitérons aujourd'hui notre engagement sur le principe de renoncer au gouvernement dans le cadre de la complémentarité des différentes phases de la feuille de route».
Par ailleurs, Ali Larayedh se serait aussi engagé à ne partir qu’une fois l’adoption de la nouvelle constitution faite et avait montré un engagement franc et rigoureux face à sa démission.
La feuille de route à son égard, rappelle son délai de démission de trois semaines ainsi que la raison de son départ : permettre un dialogue national afin de résoudre une crise politique qui hante le pays depuis plusieurs mois.
Le dialogue national en question censé commencer dans l’après-midi de mercredi n’a pas pu commencer à l’heure prévue car l’opposition n’a pas réagi faces aux propos du Premeir ministre dont la déclaration a empiétée sur la déclaration.
En même temps avec un discours de Ali Larayedh, produit cinq heures en retard, comment voulez-vous être toujours dans la continuité de l’organisation.
Elle n'avait pas réagi dans l'immédiat aux propos de Larayedh dont la déclaration est intervenue avec cinq heures de retard, bloquant le lancement du «dialogue national» censé commencer dans l'après-midi.
Pour finir, la feuille de route en question, affirme le point qui traite d’un nouveau premier ministre indépendant.
Celui-ci sera désigné dans la foule du dialogue. Mais ce processus ne sera réalisable qu’à la suite de la démission du gouvernement.
