Par ailleurs, Ennahdha a condamné "l'indifférence de la communauté internationale face à l'effusion du sang palestinien".
De son côté, le parti Appel de Tunisie a souligné que "l'armée israélienne commettait des crimes contre des isolés", appelant la communauté internationale à "prendre ses responsabilités pour mettre fin à ces agressions dans le respect de la légalité internationale", d'après un communiqué officiel.
Le parti "Al-Massar" (La Voie) a quant à lui revendiqué "une position ferme et à solliciter rapidement le Conseil de sécurité afin de mettre un terme immédiat à ces agressions et contraindre Israël à se conformer aux résolutions des Nations Unies donnant droit aux Palestiniens à un Etat indépendant".
Le "silence de la communauté arabe" a été fermement condamné par le parti du Congrès pour la République (parti du président tunisien Moncef Marzouki). Dans ce sens, le parti présidentiel a invité la diplomatie tunisienne à "prendre une position officielle claire qui incrimine les attaques israéliennes".
En ce qui concerne le président Marzouki, qui s'est entretenu par téléphone avec son homologue palestinien, Mahmoud Abbas, il a réaffirmé à ce dernier sa "solidarité totale" avec le peuple palestinien après l'escalade des frappes israéliennes sur Gaza, a indiqué la présidence tunisienne dans un communiqué.
