Cette démonstration de combats imaginaires (kata) et de combats (kumite) a permis, selon le président de la FTK, Koffi Assenim, de "réveiller leurs nerfs" des athlètes après une absence de compétitions au niveau de la fédération.
Il a annoncé des stages techniques et d'arbitrage devant permettre de relever le niveau des acteurs à l'intérieur du pays, notamment à Vogan, Dapaong, Kara et à Kpalimé afin de rendre compétitive cette discipline aux niveaux national et international.
Ces stages de formation seront suivis de compétitions interrégionales pour permettre à la fédération d'apprécier la mise en pratique des enseignements reçus, a-t-il affirmé.
M. Assenim préconise également la mise sur pied d'une équipe nationale féminine de karaté.