Il s'agit d'une table-ronde qui permettra de "mobiliser des ressources nécessaires en vue de poursuivre les réformes entamées dans le cadre des actions prévues par le plan national intégré de lutte contre la drogue et le crime", a dit le gouvernement.
La préoccupation a fait l'objet d'une communication du ministre de la Sécurité et de la Protection civile à l'attention du Conseil des ministres tenu vendredi.
Cela s'inscrit dans la "mise en œuvre des directives et recommandations des conventions internationales des Nations Unies, de la déclaration politique et du plan d'action régional de la CEDEAO en matière de lutte contre la drogue et le crime organisé transnational", a expliqué le gouvernement.
La question intervient dans un contexte de démantèlement successif de réseaux de malfrats auteurs de trafic international de drogues dures ou de crimes de sang.
Des saisies répétées de drogues dures sont opérées à l'aéroport international de la capitale togolaise, tandis que la gendarmerie nationale vient d'appréhender des auteurs de meurtres en série commis sur une douzaine de jeunes, pour la plupart des filles, âgés entre 14 et 22 ans.
