Reprise du dialogue politique entre le pouvoir et l’opposition

Afriquinfos Editeur
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Des partis politiques comme le Comité d'Action pour le Renouveau (CAR), la Convention Démocratique des Peuples Africains (CDPA), la Convergence Patriotique Panafricaine (CPP), le Parti des Démocrates pour le Renouveau (PDR), l'Alliance, l'Organisation pour Bâtir dans l'Unité un Togo Solidaire (OBUTS), le Rassemblement du Peuple Togolais (RPT, parti au pouvoir), l'Union des Forces de Changement (UFC) et des organisations de la société civile telles que le REFAMP et le GF2D, participent aux pourparlers.

L'Alliance Nationale pour le Changement (ANC) ne participe pas à ce dialogue intertogolais. Le parti de Jean-Pierre Fabre a posé certaines conditions dont le règlement de la question liée au retour de ses députés à l'Assemblée nationale. Ses députés ont été exclus de l'hémicycle suite à une lettre controversée de démission signée de l'un de leurs collègues et à laquelle leurs noms ont été annexés.

L'Alliance pour la Démocratie et le Développement Intégral (ADDI) et le Pacte Socialiste pour le Développement disent, quant à eux, n'avoir reçu aucune lettre d'invitation.

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Ces partis constituent, avec l'ANC, une coalition dénommée « Front Républicain pour l'Alternance » (FRAC).

Les pourparlers inter togolais au sein du Cadre Permanent de Dialogue et de Concertation (CPDC) rénové, avaient été annoncés en janvier dernier par le chef de l'Etat togolais, Faure Gnassingbé.