Cette convention portant sur une somme totale de 1 765.372 francs suisses a été signée par des représentants du CIO et du Musée olympique à Lausanne, ainsi que par H.G., arrêté en novembre 2011 pour malversation effectuée au moyen de fausses factures, selon la même source.
L'ancien gérant de la boutique du Musée olympique a affirmé avoir utilisé l'argent détourné pour aider son père malade en Thaïlande et décédé à Bangkok, s'est donc officiellement engagé à rembourser ce somme d'argent importante. Mais le salaire de cette personne qui a retrouvé un travail ne lui permettrait pas de réduire sa dette. "Si le CIO introduit une procédure d'exécution forcée, ce n'est pas sûr qu'il puisse obtenir quelque chose, vu que mon client couvre tout juste son minimum vital à ce jour. Les créanciers devraient accepter un remboursement de l'ordre de 50 francs suisses par mois ou obtenir un acte de défaut de biens", a indiqué de son côté Me Véronique Fontana, avocate de H.G.