Voici encore l’une de ces histoires ou révélations qui mettent à mal le vivre ensemble en République française. Selon le Syndicat « Sud-Rail », lors de la dernière visite du président Peres sur le sol hexagonal, des employés de la SNCF ont été spécialement mis de côté, lors de la visite du numéro un israélien à la Gare du nord (à Paris). Selon cette organisation syndicale, tout a été mis en place que pour que M. Peres ne croise pas « salariés noirs et musulmans arabes ».
Devant l’indignation et la curiosité suscitées par cette décision, les premiers responsables de cette société ont argué des « mesures de sécurité ». Dans sa réponse à ces accusations, la Sncf a vigoureusement démenti les accusations portées à son encontre. Elle a diligenté une enquête sur le sujet qui s’est achevée lundi dernier. Plusieurs observateurs de la société française s’étonnent du grand silence du paysage médiatique français sur ce qui pourrait se révéler une grave inconduite.
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