En effet, après certaines recherches et études faites en Sierra Leone par exemple, il a été possible d’annoncer que le singe avait lui aussi une capacité d’empathie.
"Empathie car le bâillement est une contagion émotionnelle qui exprime l’ennui ou encore la fatigue."
Chez l’homme, il a été observé que la contagion serait encore plus forte si elle a lieu dans son entourage proche. De ce fait, d’autres études ont été faites prouvant que les chiens aussi, qui dans ce cas-là ferait parti de « l’entourage proche », seraient susceptibles de bailler par contagion émotionnelle lorsque leur maître baillerait. Mais cette contagion ne se transmettrait pas avec des personnes étrangères.
Aujourd’hui, de récentes expériences ont montré que ce n’était peut-être pas le même cas de figure chez les Chimpanzés. « Il est possible que les plus jeunes chimpanzés passent d’une empathie généralisée à tous les individus à une empathie plus ciblée au moment où ils deviennent adultes » d’après la cehrcheuse Elainie Madsen. L’étude dont elle fait référence a eu lieu au refuge de chimpanzé de Tacugama, en Sierra Leone. Cette chercehuse s’est basée sur le comportement de 33 chimpanzés orphelins dont les âges allaient de 13 mois à 8 ans.