Les faits remontent à 2008. Les plaignants sont alors employés dans une usine de textile au Maroc lorsqu’un des fils de leur responsable leur propose une offre de travail en Espagne.
Avec salaire de 1 500 euros par mois dans le cadre de la législation du droit du travail espagnol, un logement et une journée de repos le dimanche, difficile de refuser ce sésame pour l’Europe.
Une offre trop belle pour être vraie ?
La réalité fut en effet un véritable enfer pour les cinq marocains obligés de travailler 15 heures par jour, sans jamais toucher de salaire.
La justice marocaine ayant suspendu par deux fois l’affaire, ils sollicitent aujourd’hui la justice espagnole et demande l'extradition de cet homme d'affaire d'origine marocaine.
