Samuel Eto’o voit poindre la fin de sa carrière sans avoir la possibilité de mettre la main sur le Mondial. Il a souhaité meilleur sort au palmarès des pensionnaires du Centre de formation qui est inclus dans les activités de sa Fondation.
« J'ai un devoir, c'est d'amener ces enfants à être des champions du monde. Grâce à mes coéquipiers ici présents, j'ai presque tout gagné. La seule chose qui importe pour notre continent, c'est la Coupe du monde. Peut-être que je n'aurai pas la chance de la gagner, mais à travers vous, j'aimerais la gagner », a lâché Samuel Eto’odans le quartier Nzeng-Ayong, à Libreville, entouré de Victor Valdes et de Xavi Hernandez, deux grands noms du Fc Barcelone.
« Tout jeunes, nous avions un rêve ; c'est de devenir footballeur ; il faut aimer et apprécier ce que vous faites. Moi votre aîné, je veux être le chauffeur du bus (de votre formation), mais je ne vais jamais jouer à votre place », a encore dit le joueur de l’Anzhi (au Daguestan, en Russie), pour chauffer à blanc la détermination des apprentis-footballeurs de sa structure de formation.
Le Centre de Nzeng-Ayong offrira l’hébergement et la formation classique et footballistique à ces pensionnaires enrôlés sur la base d’une détection aux critères rigoureux.
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