Son premier devoir dès le 4 septembre (jour de son investiture, Ndlr), sera de rassembler l'ensemble de toutes les Maliennes et de tous les Maliens sans exclusive aucune. Ce, dit-il, autour des idéaux de paix, de réconciliation.
"Je serai le président de la réconciliation nationale, qui est nécessaire pour faire face aux exigences (..)," a-t-il dit. ''J'adresse mes salutations républicaines et fraternelles à mon frère Soumaïla Cissé'', son challenger au second tour, a déclaré IBK ajoutant qu'il remercie l'ensemble de la communauté internationale dont le soutien a permis le bon déroulement des élections, garantir la transparence, la crédibilité, entre autres des élections.
Rappelant qu'il a été soutenu par des alliés, IBK dit n'avoir jamais promis quoi que ce soit à qui que ce soit. Celui-ci a précisé que son ''pouvoir ne sera pas un partage de gâteau''. Les postes reviendront à ceux qui le méritent, il ne sera pas question de népotisme dans mon pouvoir''.
