Les manifestants ont encerclé les portes du Conseil de la Shura (chambre haute du Parlement), appelant à la dissolution de l'Assemblée.
"L'Assemblée constitutionnelle est dominée par les Islamistes, ce qui diminue la chance d'élaborer une constitution représentant tous les secteurs de la société égyptienne", a indiqué Nouran Adel, un membre important de la Coalition de la jeunesse révolutionnaire, à l'agence Xinhua.
"Nous rejetons aussi quelques articles liés à l'appareil judiciaire et aux pouvoirs présidentiels dans la première version de la constitution annoncée la semaine dernière", a-t-elle ajouté.