"Les femmes et les filles sont enlevées puis violées par les nouveaux occupants qui y dictent leur loi", dit le communiqué.
Face à une telle situation, le CNRDRE en appelle aux organisations internationales, notamment l'ONU et la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), dont fait partie le Mali, pour une conjugaison des efforts en vue de condamner ces crimes et leurs auteurs.
Par ailleurs, le CNRDRE a saisi cette occasion "pour dénoncer la restriction de la liberté d'aller et venir déniée aux populations dans les localités de Kidal et Gao où les éléments MNLA, Ançardine et AQMI bloquent tout mouvement des moyens de transport, fussent-ils civils".
"Ces graves violations des droits de l'homme interpellent la conscience collective", dit le communiqué.