La CPA est dirigée par Ibrahim Ag Assaleh, un ancien responsable du MNLA, qui a récemment promis de créer son propre mouvement, précise-t-on de même source.
Ce mouvement se veut "une alternative pour sauver l'accord de Ouagadougou", a indiqué la source, ajoutant que la CPA "souhaite tenir les pourparlers inclusifs avec les autorités maliennes". Le MNLA n'a pas participé aux récents pourparlers de Bamako entre le gouvernement malien et les groupes armées du nord malien sur le redéploiement de l'administration en vue de la reprise des services de base dans le nord. La CPA, se dit "forte de 8.000 hommes armés dont 7.000 présents au lancement mardi, "revendique le ralliement d'éléments du MNLA, surtout de sa branche armée".
