Après enquête et interrogatoire auprès de la police de l'immigration d'Antananarivo, deux Comoriens ont été remis en liberté provisoire tandis que les quatre femmes sont encore en détention préventive à la prison d'Antanimora, au centre ville de la capitale.
Dans le cas où ces passagers en possession de passeport français falsifiés ou en situation irrégulière entrent sur le territoire français, c'est la compagnie aérienne qui les transporte qui doit payer les amendes aux environs de 10.000 euros par passagers, a-t-on indiqué.