Le premier cas est survenu le samedi03 mars derniers dans la localité de Beyla à plus de 1000 km de Conakry, avec un bilan de 56 morts et plus de 27 blessés graves et un important dégât matériel.
Le second cas est survenu le vendredi 9 mars à Bukréka avec un bilan de 9 morts, plus de cinq blessés graves et des dégâts matériels importants.
Le troisième cas s'est produit dans la journée du dimanche 11 mars, dans un quartier de la haute banlieue de Conakry, avec un bilan de trois morts et des blessés graves dans un état critiques.
Cette situation dramatique démontre l'ampleur des pertes en vie humaine ainsi que des dégâts matériels important souvent causés par les accidents de circulation enregistrés sur les différents axes routiers du pays.
Selon des estimations faites par des spécialistes, dans 75 % des cas d'accident de circulation, la cause principale serait toujours due à l'accès de vitesse, à la défectuosité des systèmes de freinage des véhicules, au non respect du code de conduite et à l'état restreint et dégradant des routes.
