Parmi les participants figurent l'Union africaine (UA), l'Organisation onusienne pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO) et la Fondation Félix Houphouët-Boigny.
Egalement présents à la réunion sont des représentants de fondations et instituts de paix du Burkina Faso, du Cameroun, du Cap Vert, de la Côte d'Ivoire, de l'Éthiopie, du Gabon, du Ghana, de l'Italie, du Malawi, du Mali, du Mozambique, du Nigéria, de la République démocratique du Congo, de l'Afrique du Sud , de l' Espagne, de la Suisse, du Togo, de la Tunisie et de la Grande- Bretagne.
Les membres fondateurs sont censés signer un communiqué qui établit le réseau.
S'exprimant à l'ouverture de la réunion, Olawale Maiyegun, le Directeur des Affaires sociales de l'UA, a déclaré que l'UA travaillait pour une paix durable en Afrique.
« L'objectif principal est de rassembler toutes ces fondations et institutions travaillant dans le domaine de la culture de la paix et de lancer un grand mouvement en faveur de la paix en Afrique », a déclaré Edouard Firmin Matoko, le représentant de l'UNESCO en Ethiopie.
