Le ministère a déclaré dans un communiqué que la maladie mortelle a éclaté dans les districts d'Arua, Adjumani, Koboko et Maracha.
« Un total de 31 cas suspects sans décès ont été signalés depuis que le premier le cas a été enregistré le 23 janvier. Adjumani a enregistré le plus grand nombre avec 14 cas, suivi par Arua qui a enregistré à ce jour 13 cas », a indiqué le communiqué.
Les districts voisins de Koboko et Maracha ont chacun rapporté deux cas.
Dans le district d'Adjumani, des cas ont été signalés dans trois sous-comités qui hébergent les réfugiés qui fuient le conflit actuel au Soudan du Sud voisin.
Le ministère a indiqué qu'il avait envoyé une équipe d'experts médicaux aux districts affectés pour renforcer l'équipe locale. Un groupe de travail national a été réactivé alors que l'Organisation mondiale de la Santé a été demandée de fournir une logistique à temps.
« Avec les mesures ci-dessus, le ministère de la Santé est convaincu que l'épidémie sera contenue et elle ne devrait pas semer la panique parmi les populations », a indiqué le communiqué.
